- Le code vestimentaire se résumait à trois choses : pas de jeans bleu délavé, pas de t-shirt et pas d’espadrilles.
- L’éducation des Moxs pour leur apprendre à monter les escaliers du bon bord était un sport collégial.
- La campagne des agrumes faisait fureur à tous les niveaux, même en 5e secondaire.
- Un gros biscuit à l’avoine, une canette de fresca et une grosse poutine était le repas de cafétéria préféré de tous les élèves.
- Tous les enseignants masculins portaient soit la moustache ou des jeans serrés.
- Gédéon existait déjà.
- En sortie, ce n’était pas des autobus voyageurs que nous utilisions, mais bien des autobus jaunes.
- La 69, la 70, la 54 et, bien sûr, la 25A pour se rendre à Mascouche, étaient le transport scolaire principal du Collège.
- On regardait les filles de Régina à l’arrêt d’autobus en levant les yeux au ciel lorsqu’on les entendait glousser sur les élèves garçons du Collège.
- Lorsque nous n’avions pas de sarrau, nous n’avions pas de labo et c’était zéro.
- La piscine était au 7e étage mais nous avions également des allées de quilles disco au 2e sous-sol.
- Les élèves entraient par l’avant du Collège là où on avait peint un grand triangle vert … symbole qui soulève toujours notre interrogation d’ailleurs !
- Tous les directeurs et les secrétaires étaient dans le même bureau. Aussi, les bureaux des enseignants étaient divisés par matière et non pas par niveau.
- La chanson thème du Collège était la déclinaison en latin du nom «ROSE»
- Et finalement, dans mon temps au Mont-Saint-Louis, je rêvais d’être archéologue … qui aurait dit que je me serais retrouvé un jour à enseigner le PIB.
Judith Courcelles, promotion 1995
Août 2008